20 avril 2024

Nos politiciens ont tellement peur de la vérité, qu’ils préfèrent être complice du mensonge, et du vaccin criminel !

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Après la distanciation sociale, le masque, voici le vaccin de la honte !

Aprés la soumission honteuse au masque, soumission honteuse au vaccin du Covid.

Le Dr. VERCOUTERE explique !

NEXUS 121 – VACCINS – un plan mondial

Vaccination tout au long de la vie, vaccination dans les pharmacies, les écoles, sur le lieu de travail ou au supermarché : une politique de vaccination constante à l’échelle planétaire à grande vitesse. Senta Depuydt

Dans un magazine en ligne, un chroniqueur indépendant s’étouffe : « L’Argentine est devenue la première nation au monde constitué de rats de laboratoire », ou des essais dangereux, mortels même sont menés sans consentement avec le vaccin Synflorix.

C’est à Mar del Plata que se tenait le sommet du G20 en 2018. La vaccination y était à l’honneur avec le sujet de la résistance aux antibiotiques et surtout la thématique : « la préparation aux menaces sanitaires et à de nouvelles pandémies. »

Dans la déclaration du 4 octobre 2018, sous présidence argentine, les pays du G20 appellent à renforcer l’importance des agences de santé nationales et le rôle central de l’OMS, afin de s’assurer que l’ONU dispose d’un système pour faire face à une future crise sanitaire mondiale. Ils se prononcent aussi en faveur d’un large financement de cette préparation à la pandémie, par le soutien de la World Bank’s Pandemic Emergency Financing Facility, fruit récent d’un partenariat entre l’OMS et la Banque mondiale.

Un carnet européen de vaccination

La volonté de créer cet ordre mondial de la santé est donc manifeste et le premier point de son agenda est et reste la vaccination. Si l’Argentine prend les devants avec cette mesure radicale, l’Europe semble lui emboîter le pas. Le 30 novembre, le Conseil de l’Union européenne émet une recommandation pour : « une collaboration renforcée dans la lutte contre les maladies à prévention vaccinale », dans laquelle il préconise de renforcer la vaccination et son financement et d’organiser d’ici à 2020 un calendrier vaccinal européen conforme aux recommandations de l’OMS et surveiller sa mise en œuvre par l’instauration d’un carnet européen numérique de vaccination, voire un « passeport ». On y prévoit une vaccination « tout au long de la vie », avec des contrôles de rappels à la vaccination à tout âge, notamment lors de l’accès à la (pré) scolarité, aux soins de santé, au lieu de travail ou aux établissements de soins. L’Union met la priorité sur le développement de plateformes de santé numériques et de solutions big data.

Politique autoritaire

Martin Seychell, directeur général adjoint de la direction de la Santé et Sécurité alimentaire de la Commission européenne, affirme que : « la non-vaccination menace la vie d’autrui ».

Lors d’une réunion au Parlement, s’adressant aux associations et partenaires de la société civile une ONG financée par MSD (Merck Sharp & Dohme, fabricant du vaccin Gardasil), il a insisté sur l’importance de renforcer le leadership et d’augmenter la surveillance.

Etat d’urgence permanent

En novembre 2014, le GHSA a lancé cette stratégie globale de la menace. L’argument sécuritaire permettant de contourner toutes les législations en faveur du libre consentement éclairé. La désignation de la rougeole, maladie généralement bénigne, comme menace sanitaire n’est pas innocente. Elle intervient juste après que l’expert des CDC (Centers for Disease Control and Prevention) William Thompson a avoué avoir falsifié la principale étude qui servait de référence pour rejeter le lien entre l’autisme et le vaccin rougeole, oreillons, rubéole.

Pour la rougeole, il s’agit de viser une couverture de 95% sur toute la planète afin d’atteindre « l’immunité de groupe ». L’Italie fut désignée comme précurseur de la mise en place du programme. Avant l’élection de Trump, Barack Obama et Bill Gates signèrent en hâte un important financement visant à accélérer la mise en place du programme à l’échelle mondiale et lancèrent la grande campagne de la menace du retour de la rougeole.

Stratégie de la menace

Le cœur de la stratégie se concentre sur la menace virtuelle et le danger permanent.

Ce sera le danger de la « possible diminution de la vaccination » et du grand retour des maladies « à cause de la désinformation sur les réseaux sociaux », soit le danger de l’inconnu comme « la fameuse grippe que l’on ne connaît pas, mais qui arrivera tôt ou tard ».

La grippe, favorite de Bill Gates et de producteurs de vaccins, à laquelle s’ajoute en 2018, dans la liste des dangers prioritaires, la « maladie X ». Elle n’existe pas encore mais elle permet de financer « les programmes de préparation à la catastrophe », comme prévu avec la Banque mondiale.

L’OMS a qualifié les réticences à la vaccination comme étant l’une des dix principales menaces sur la santé.

Contrôle des citoyens

Par la mise en œuvre des carnets de santé électroniques, prévus par l’Union européenne, il y a une volonté qui s’opère de la surveillance des maladies et y apporter une surveillance accrue des citoyens.

Interpol (organisation internationale de police criminelle) participe au GHSA et gère un fichier centralisé permettant de poursuivre les individus à travers le monde. On peut s’interroger sur son rôle éventuel dans le maintien des politiques vaccinales, si un individu était qualifié de dangereux ou de déviant pour avoir refusé un vaccin. Sachant que l’OMS a déclaré que les « réticences à la vaccination sont une des principales menace à la santé globale » et que l’Union européenne finance des programmes pour étudier le comportement et le profil psychologique des individus réticents … il y a de quoi s’inquiéter.

Mot tabou : eugénisme

Ce sujet n’est jamais abordé alors que l’on ne cesse d’évoquer les dangers des mouvements extrémistes tout en menant des politiques de plus en plus autoritaires. Trois questions se posent :

  • Y a-t-il eu des individus aux opinions nazies ou eugénistes parmi ceux qui ont conçu et financé le développement de vaccins ?
  • Y a-t-il des vaccins contraceptifs ou stérilisants ?
  • L’eugénisme a-t-il fait partie de programmes politiques ?

La réponse à ces trois questions est clairement oui..

Eliminer les faibles

La fondation Rockefeller joue un rôle important dans les politiques vaccinales depuis plus d’un siècle. L’institut a été créé en 1904 sous la direction de William Welch, scientifique dont une des priorités était la mise au point du premier vaccin anti-polio. Welch était un eugéniste notoire. Il siégeait au conseil de l’Eugenics Record Office, organisme qui fichait des millions d’Américains, identifiait les lignées les plus faibles et les éliminait par différentes méthodes : la stérilisation et l’euthanasie.

Rockefeller était le principal actionnaire de la Standard Oil avec la compagnie Allemande IG Farben. IG Farben est la compagnie qui participa aux expérimentations humaines, dont certaines portaient sur le développement de vaccins en infectant des prisonniers avec le typhus et d’autres maladies. IG Farben fabriquait le gaz zyklon B utilisé pour les chambres à gaz.

Contrôle démographique

La guerre n’a pas mis fin aux politiques eugénistes et la fondation Rockefeller les soutient via les programmes menés sur le plan national et international.

En 1913, dans une lettre à Charles Davenport, un des leaders du mouvement eugéniste, Theodore Roosevelt, estime : «  que la société ne peut pas permettre aux dégénérés de se reproduire. » Entre la seconde Guerre mondiale et la fin des années 1980, des générations Busch sont étroitement impliquées dans les politiques eugénistes en lien avec la fondation.

En 1974, Kissinger adresse un rapport secret au Conseil national de sécurité américain définissant les grandes lignes d’un agenda de contrôle mondial de la population.

C’est sous l’impulsion du britannique Julian Huxley, ancien directeur général de l’Unesco et fervent défenseur de l’eugénisme que le contrôle de la population a été intégré de manière systématique dans un agenda mondial.

En résumé, éliminer les plus faibles au profit des plus forts. Julian Huxley s’est appliqué à inscrire le contrôle des populations dans les programmes de l’Unesco, de la FAO et de l’OMS, instituant le Conseil de la population et veillant à associer les politiques de contrôle démographique aux aides apportées aux pays en voie de développement (dont la principale est la vaccination).

Deux en un !

Le projet de développement des vaccins stérilisants est lancé par l’OMS en 1972 avec le FNUP (Fonds des Nations Unies pour la population), le PNUD (Programme des Nations Unies pour le développement), la Banque mondiale et leurs partenaires privilégiés.

Il impliquait 650 chercheurs dans plus de 60 pays et différentes méthodes parmi lesquelles l’avortement, la stérilisation et les vaccins contraceptifs.

En 1993, un vaccin efficace est mis au point combinant la toxine du tétanos avec une hormone de grossesse. Ce vaccin a des propriétés abortives chez les femmes enceintes et inhibe la grossesse chez les femmes fécondées. Destiné aux pays en voie de développement, ces vaccins étaient proposés aux femmes qui en font la demande « en toute connaissance de cause » !!!

Libre consentement bafoué

Aujourd’hui, le terme de vaccin contraceptif ou anti-grossesse est abandonné au profit de noms plus neutres. Exemple : le DMPA, où Depo-Provera, contraceptif injectable promu par la fondation Gates dans le cadre du plan de planning familial FP2020, campagne amorcée avec le gouvernement britannique et ciblant les pauvres, spécialement en Inde (Mission Parivar Vikas).

Selon la porte-parole de l’ONG Centre for Health and Social Justice dans un article paru dans la presse indienne en 2017, le libre consentement éclairé de cette campagne est une farce.

Stérilité et vaccin anti-HPV

Elaborés avec l’aide du gouvernement américain, les vaccins contre le papillomavirus Gardasil et Cervarix ont été accusés de provoquer des troubles du fonctionnement ovarien, des problèmes de ménopause précoce et des cas de cancer du col. L’utilisation de physorbate 80 et de borate pourrait en être la cause. Ces produits, toxique sur le système reproductif peuvent provoquer une dégénérescence des organes sexuels, la diminution du sperme et de l’ovulation également des malformations fœtales.

Drones, satellites et colliers à puce

Big Data et les nouvelles technologies sont au rendez-vous de l’agenda vaccinal. Dans une interview de novembre 2017, Seth Berkley, directeur de l’Alliance globale pour la vaccination et l’immunisation, précise ses ambitions :

« Des millions d’enfants n’ont pas de papiers d’identité, encore moins de carnet de santé, mais l’un des objectifs du programme de développement durable des Nations Unies est que chaque être humain soit enregistré sous une identité légale d’ici à 2030. Cela peut se faire en déployant un ensemble de technologies numériques et c’est un objectif qui se combine parfaitement avec la vaccination.

Par exemple, à l’aide de Big Data, l’on peut anticiper la localisation et le déploiement de futures épidémies et y répondre par une campagne de vaccination. On peut aussi utiliser les techniques de localisation géospatiales et les caméras de surveillance par drone pour repérer des ethnies qui n’ont pas encore été vaccinées, comme cela se fait au Nigeria. »

Il explique aussi qu’au Rajasthan en Inde, GAVI, l’Alliance du vaccin travaille avec la compagnie Khushi Babies qui a développé un carnet de vaccination sous la forme d’un collier à puce électronique. Ce collier peut être scanné, mis à jour par un téléphone portable par les équipes de vaccination et avoir une information fiable.

Cela permettrait de viser une couverture vaccinale de 100% des vaccins recommandés pour tous les enfants par l’OMS.

Vaccins et injections transhumanistes

L’immunoprophylaxie par transfert génétique pourrait se présenter comme l’avenir du vaccin, mais aussi inaugurer la voie du transhumanisme. Il s’agit d’appliquer le principe des OGM à l’être humain.

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