19 avril 2024

JEDER LIEBT TIERE, aber nicht nur als Entrecôte. WÄHLEN SIE O U I am 25 09 22!

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CONTRAIREMENT A CE QUE DISENT NOS AUTORITES, seuls 12% de tous les animaux enfermés ont accès à l'extérieur.

Il y a eu un autre scandale la semaine dernière, et il est arrivé directement dans nos boîtes aux lettres: On peut y lire qu’en Suisse, quatre animaux d’élevage sur cinq ont un accès régulier à l'extérieur.                       Or, la Confédération ne compte pas les animaux en tant qu'individus, mais en unités de gros bétail (UGB). Ainsi, 6 cochons ou 250 poulets d’engraissement sont mis au même rang qu’une vache adulte. Si un élevage détient 500 poulets sans accès à l’extérieur et 2 vaches qui peuvent aller au pâturage, cela signifie, selon la Confédération et l’Union Suisse des Paysans, que 50 % des animaux ont accès à l’extérieur.

                                                    Si l’on considère qu’un animal vaut un autre animal.

seuls 12 % de tous les animaux d’élevage suisses ont véritablement accès à l'extérieur.

L’élevage intensif est un système de production dans lequel les besoins fondamentaux des animaux sont bafoués  pratiquement à tous les égards. De grands groupes d’animaux sont entassés dans un espace très étroit et n’ont généralement pas accès à l’extérieur.

On peut tourner et retourner la question dans tous les sens: «Si nous voulons nourrir suffisamment les populations du monde entier et ne pas détruire totalement la nature, nous devons alors nous passer de l’élevage industriel.» Pour ce faire, et pour le bonheur des paysans, nous allons devoir nous résoudre à diminuer notre consommation d’œufs et de viande et payer un peu plus cher notre viande, ce qui ne sera pas mauvais pour notre santé et notre conscience. Nous cesserons d’infliger tant de souffrance à ces animaux qui ne le méritent pas.

83 millions de bêtes ont été abattues l’an dernier en Suisse dans les principales catégories (bovins, porcs, agneaux, volailles), dont seulement 10 millions, soit 12,2%, d’animaux sous label.

31 % des bovins (vaches et veaux inclus) vivent sous label, (cette proportion stagne).

11 % des agneaux vivent sous label, (en recul).

8 % des poulets de chair vivent sous label, (en recul).

15 % L’évolution du marché du lait sous label a été plus positive, tout en se situant encore à un faible.

84,5 % La part de poules pondeuses en plein air et en élevage bio s’est développé de façon très réjouissante.

 

 

 

ACTUELLEMENT LA PLUPART DES ANIMAUX VIVENT DANS CES CONDITIONS : clic

Seul dés sa naissance, séparé de sa mère, il se retrouve seul, le chagrin plein les yeux, une vie de peur !

VOICI LES CONDITIONS DE VIE QUE DEMANDE L'INITIATIVE :

Si nous ne respectons pas leurs peurs au moment de la mort, alors respectons au-moins leur vie !

LES ELEVAGES DE PORCS:

Pour d’avantage de jeunes petits paysans amoureux de leur métier, aujourd’hui en périls.

Stop aux très grosses unités d’élevages, ou alors qu'elles s’adaptent.

L'élevage intensif de porcs, également connu sous le nom d' élevage industriel de porcs, est la principale méthode de production porcine, dans laquelle les porcs d'engraissement sont logés à l'intérieur dans des logements collectifs ou des hangars tapissés de paille, tandis que les truies gestantes sont logées dans des cages ou des enclos de gestation mettent bas dans les cages de mise à bas.

Généralement, les porcs d’engraissement sont élevés dans des bâtiments appauvris et surpeuplés, le plus souvent sur caillebotis intégral (sol ajouré pour l’évacuation des déjections, ne permettant pas l’apport de litière).                                                                                   Ils sont sélectionnés pour une croissance très rapide, ce qui nuit à leur santé.

 

LE PORC  est un animal curieux, joueur, joyeux  et affectueux, comme un chat ou un chien.

Les effectifs 2020: 2,5 millions
Durée de vie des Cochons d’engraissement : 5 mois         Espérance de vie naturelle : environ 15 ans
Effectifs maximaux: jusqu’à 1 500 cochons d’engraissement par halle.                                                                                                                         La taille moyenne des exploitations a doublé au cours des 20 dernières années, passant de 110 à 220 cochons.
La course au rendement est cruelle, ils ont souvent d'énormes problèmes de santé.                                                                                                 En élevage intensif le porc consomme de grandes quantités d'antibiotiques qui ensuite sont consommés par les consommateurs.

Les cochons d'aujourd'hui présentent deux côtes supplémentaires. En raison de leur corps anormalement long  leur dos peut littéralement « casser ».
Espace disponible: On peut élever jusqu'à dix cochons sur la surface d'une place de parking.
Hébergement: Ces animaux très intelligents doivent souvent vivre dans des enclos en béton. La litière n'est pas obligatoire.
Troubles comportementaux: La caudophagie (le fait de mordre la queue d’un congénère) est un trouble du comportement très fréquemment observé, qui apparaît lorsque les animaux sont stressés, n'ont pas d'occupation et son entassés. Des blessures à la queue ont été constatées chez plus d'un tiers des animaux abattus.
Mort prématurée: Un taux dit « de perte » (mort avant l'abattage) de 1,5 à 2% est considéré comme normal en élevage porcin.